GAROU
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Nous :: Votre 1ère catégorie :: Chansons
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Je n'attendais que vous
On garde un soleil
Au fond de nous
Un feu qu'on réveille
Malgré tout
Malgré les douleurs d'hier
Tout à coup on espère
Au hasard d'un jour
Pareil aux autres
On se sent moins lourd
La vie nous porte
Pour un regard de lumière
Un seul aveu à faire
Je n'attendais que vous
Je n'espérais que vous
J'ai marché si longtemps
Je viens de loin
Le monde était grand
Et long le chemin
Je n'attendais que vous
Nulle autre que vous
J'attendais votre voix
Vos soupirs
Donnez-moi votre air
Qu'enfin je respire
On garde un peu d'or
Au fond de l'âme
Mais le temps dévore
Éteint la flamme
Jusqu'à ce jour de hasard
Et soudain on repart
On remplit nos yeux
D'autres couleurs
Est-ce qu'on y voit mieux ?
Est-ce qu'on est meilleur ?
Quand tout redevient si clair
Un seul aveu à faire
Je n'attendais que vous
Je n'espérais que vous
J'ai marché si longtemps
Je viens de loin
Le monde est trop grand
Trop long le chemin
Je n'attendais que vous
Nulle autre que vous
J'attendais votre voix
Vos soupirs
Donnez-moi votre air
Qu'enfin je respire
Vous, vous
Je n'attendais que vous
Je n'espérais que vous
J'ai marché si longtemps
Je viens de loin
Le monde était grand
Et long le chemin
Je n'attendais que vous
Nulle autre que vous
J'attendais votre voix
Vos soupirs
Donnez-moi votre air
Qu'enfin je respire
Je n'attendais que vous
Je n'attendais que vous
Au fond de nous
Malgré tout
Malgré les douleurs
Je n'attendais que vous
Je viens de loin
Je n'espérais,
N'espérais que vous
Je n'attendais que vous
Je n'attendais que vous
Au fond de nous
Un feu qu'on réveille
Malgré tout
Malgré les douleurs d'hier
Tout à coup on espère
Au hasard d'un jour
Pareil aux autres
On se sent moins lourd
La vie nous porte
Pour un regard de lumière
Un seul aveu à faire
Je n'attendais que vous
Je n'espérais que vous
J'ai marché si longtemps
Je viens de loin
Le monde était grand
Et long le chemin
Je n'attendais que vous
Nulle autre que vous
J'attendais votre voix
Vos soupirs
Donnez-moi votre air
Qu'enfin je respire
On garde un peu d'or
Au fond de l'âme
Mais le temps dévore
Éteint la flamme
Jusqu'à ce jour de hasard
Et soudain on repart
On remplit nos yeux
D'autres couleurs
Est-ce qu'on y voit mieux ?
Est-ce qu'on est meilleur ?
Quand tout redevient si clair
Un seul aveu à faire
Je n'attendais que vous
Je n'espérais que vous
J'ai marché si longtemps
Je viens de loin
Le monde est trop grand
Trop long le chemin
Je n'attendais que vous
Nulle autre que vous
J'attendais votre voix
Vos soupirs
Donnez-moi votre air
Qu'enfin je respire
Vous, vous
Je n'attendais que vous
Je n'espérais que vous
J'ai marché si longtemps
Je viens de loin
Le monde était grand
Et long le chemin
Je n'attendais que vous
Nulle autre que vous
J'attendais votre voix
Vos soupirs
Donnez-moi votre air
Qu'enfin je respire
Je n'attendais que vous
Je n'attendais que vous
Au fond de nous
Malgré tout
Malgré les douleurs
Je n'attendais que vous
Je viens de loin
Je n'espérais,
N'espérais que vous
Je n'attendais que vous
Je n'attendais que vous
L'adieu
Adieu
Aux arbres mouillés de septembre
À leur soleil de souvenir
À ces mots doux, à ces mots tendres
Que je t'ai entendu me dire
À la faveur d'un chemin creux
Ou d'une bougie allumée
Adieu à ce qui fut nous deux
À la passion du verbe aimer
L'adieu
Est une infinie diligence
Où les chevaux ont dû souffrir
Où les reflets de ton absence
Ont marqué l'ombre du plaisir
L'adieu est une lettre de toi
Que je garderai sur mon cœur
Une illusion de toi et moi
Une impression de vivre ailleurs
L'adieu
N'est que vérité devant Dieu
Tout le reste est lettre à écrire
À ceux qui se sont dit adieu
Quand il fallait se retenir
Tu ne peux plus baisser les yeux
Devant le rouge des cheminées
Nous avons connu d'autres feux
Qui nous ont si bien consumés
L'adieu
C'est nos deux corps qui se séparent
Sur la rivière du temps qui passe
Je ne sais pas pour qui tu pars
Et tu ne sais pas qui m'embrasse
Nous n'aurons plus de jalousies
Ni de paroles qui font souffrir
Aussi fort qu'on s'était choisi
Est fort le moment de partir
Oh l'adieu !
L'adieu
C'est le sanglot long des horloges
Et les trompettes de Waterloo
Dire à tous ceux qui s'interrogent
Que l'amour est tombé à l'eau
D'un bateau ivre de tristesse
Qui nous a rongé toi et moi
Les passagers sont en détresse
Et j'en connais deux qui se noient
Adieu
Aux arbres mouillés de septembre
À leur soleil de souvenir
À ces mots doux, à ces mots tendres
Que je t'ai entendu me dire
À la faveur d'un chemin creux
Ou d'une bougie allumée
Adieu à ce qui fut nous deux
À la passion du verbe aimer
L'adieu
C'est le loup blanc dans sa montagne
Et les chasseurs dans la vallée
Le soleil qui nous accompagne
Est une lune bête à pleurer
L'adieu ressemble à ces marées
Qui viendront tout ensevelir
Les marins avec les mariées
Le passé avec l'avenir
Oh l'adieu !
Oh l'adieu !
Aux arbres mouillés de septembre
À leur soleil de souvenir
À ces mots doux, à ces mots tendres
Que je t'ai entendu me dire
À la faveur d'un chemin creux
Ou d'une bougie allumée
Adieu à ce qui fut nous deux
À la passion du verbe aimer
L'adieu
Est une infinie diligence
Où les chevaux ont dû souffrir
Où les reflets de ton absence
Ont marqué l'ombre du plaisir
L'adieu est une lettre de toi
Que je garderai sur mon cœur
Une illusion de toi et moi
Une impression de vivre ailleurs
L'adieu
N'est que vérité devant Dieu
Tout le reste est lettre à écrire
À ceux qui se sont dit adieu
Quand il fallait se retenir
Tu ne peux plus baisser les yeux
Devant le rouge des cheminées
Nous avons connu d'autres feux
Qui nous ont si bien consumés
L'adieu
C'est nos deux corps qui se séparent
Sur la rivière du temps qui passe
Je ne sais pas pour qui tu pars
Et tu ne sais pas qui m'embrasse
Nous n'aurons plus de jalousies
Ni de paroles qui font souffrir
Aussi fort qu'on s'était choisi
Est fort le moment de partir
Oh l'adieu !
L'adieu
C'est le sanglot long des horloges
Et les trompettes de Waterloo
Dire à tous ceux qui s'interrogent
Que l'amour est tombé à l'eau
D'un bateau ivre de tristesse
Qui nous a rongé toi et moi
Les passagers sont en détresse
Et j'en connais deux qui se noient
Adieu
Aux arbres mouillés de septembre
À leur soleil de souvenir
À ces mots doux, à ces mots tendres
Que je t'ai entendu me dire
À la faveur d'un chemin creux
Ou d'une bougie allumée
Adieu à ce qui fut nous deux
À la passion du verbe aimer
L'adieu
C'est le loup blanc dans sa montagne
Et les chasseurs dans la vallée
Le soleil qui nous accompagne
Est une lune bête à pleurer
L'adieu ressemble à ces marées
Qui viendront tout ensevelir
Les marins avec les mariées
Le passé avec l'avenir
Oh l'adieu !
Oh l'adieu !
Au coeur de la terre
'y a pas si longtemps
Je suis descendu
Au coeur de la terre
Je croyais y trouver
Mon amour perdu
Comme un diamant solitaire
Je ne vous dirai pas
Ce que j'y ai vu
Dans le coeur de la terre
Tous les rêves envolés
De l'Humanité
Ont défilé devant ma vue
Et j'ai retrouvé la clé
Du paradis perdu
Au coeur de la terre
J'ai vu des cités disparues
Mais mon amour perdu
Je n' l'ai jamais retrouvé
J'ai monté les chevaux
Des conquistadors
Au coeur de la terre
Et j'ai croisé le fer
Avec les armées
De Nabuchodonosor
J'ai traversé des guerres
Enjambés des corps
Devenus de pierre
J'ai franchi des frontières
Qui n'existent plus
Et j'ai même rencontré
Trois ou quatre dinosaures
Qui vous font leur salut
Au coeur de la terre
J'ai trouvé un arbre vert
La tête à l'envers
Il était dev'nu de verre
J'y ai reconnu
L'arbre du fruit défendu
Mais mon amour perdu
Je n' l'ai jamais retrouvé
Au coeur de la terre
J'ai trouvé un météore
Pourquoi sa lumière
Brûle-t-elle encore mon corps
Mais ce météore
Était-il le coeur de la terre ?
Ou peut-être encore
Était-il mon amour perdu... Il n
Je suis descendu
Au coeur de la terre
Je croyais y trouver
Mon amour perdu
Comme un diamant solitaire
Je ne vous dirai pas
Ce que j'y ai vu
Dans le coeur de la terre
Tous les rêves envolés
De l'Humanité
Ont défilé devant ma vue
Et j'ai retrouvé la clé
Du paradis perdu
Au coeur de la terre
J'ai vu des cités disparues
Mais mon amour perdu
Je n' l'ai jamais retrouvé
J'ai monté les chevaux
Des conquistadors
Au coeur de la terre
Et j'ai croisé le fer
Avec les armées
De Nabuchodonosor
J'ai traversé des guerres
Enjambés des corps
Devenus de pierre
J'ai franchi des frontières
Qui n'existent plus
Et j'ai même rencontré
Trois ou quatre dinosaures
Qui vous font leur salut
Au coeur de la terre
J'ai trouvé un arbre vert
La tête à l'envers
Il était dev'nu de verre
J'y ai reconnu
L'arbre du fruit défendu
Mais mon amour perdu
Je n' l'ai jamais retrouvé
Au coeur de la terre
J'ai trouvé un météore
Pourquoi sa lumière
Brûle-t-elle encore mon corps
Mais ce météore
Était-il le coeur de la terre ?
Ou peut-être encore
Était-il mon amour perdu... Il n
Demande au soleil
Dans mes nuits je vois des murs de feu
Je traverse des océans de sang
Je croise le fer avec les anges de l'enfer
Et mes jours sont un long tunnel
Au bout duquel
Tu m'appelles
Attends-moi
Où que tu sois
J'irai te chercher
Et te retrouver
Demande au soleil
Demande au soleil et aux étoiles
Oh ! Si je t'ai aimée
Demande à la lune de témoigner
Oh ! Si tu m'as manqué
Demande aux montagnes où j'ai erré
Combien de nuits, combien de jours
Demande aux rivières que j'ai pleurées
Demande au soleil
Le chemin qu'on avait fait ensemble
Je le refais à l'endroit à l'envers
T'avais pas l'droit de t'en aller loin de moi
De me laisser seul dans cet univers
Qu'est-ce que j'ai fait pour qu'on m'enlève
Ma vie, mon amour et mes rêves ?
Je te rejoindrai
Mais dans quelles contrée ?
Demande au soleil et aux étoiles
Oh ! Si je t'ai aimée
Demande à la lune de témoigner
Oh ! Si tu m'as manqué
Demande à la mer de me noyer
Si je trahissais notre amour
Demande à la terre de m'enterrer
Dans mes nuits je vois des murs de feu
Et mes jours sont un long tunnel
Au bout duquel tu m'appelles
Demande au soleil et aux étoiles
Oh ! si tu m'as manqué
Demande aux montagnes où j'ai erré
Combien de nuits combien de jours
Demande aux rivières que j'ai pleurées
Demande au soleil
Demande à la mer de me noyer
Si je trahissais notre amour
Demande à la terre de m'enterre
Demande au soleil
Demande au soleil...
Je traverse des océans de sang
Je croise le fer avec les anges de l'enfer
Et mes jours sont un long tunnel
Au bout duquel
Tu m'appelles
Attends-moi
Où que tu sois
J'irai te chercher
Et te retrouver
Demande au soleil
Demande au soleil et aux étoiles
Oh ! Si je t'ai aimée
Demande à la lune de témoigner
Oh ! Si tu m'as manqué
Demande aux montagnes où j'ai erré
Combien de nuits, combien de jours
Demande aux rivières que j'ai pleurées
Demande au soleil
Le chemin qu'on avait fait ensemble
Je le refais à l'endroit à l'envers
T'avais pas l'droit de t'en aller loin de moi
De me laisser seul dans cet univers
Qu'est-ce que j'ai fait pour qu'on m'enlève
Ma vie, mon amour et mes rêves ?
Je te rejoindrai
Mais dans quelles contrée ?
Demande au soleil et aux étoiles
Oh ! Si je t'ai aimée
Demande à la lune de témoigner
Oh ! Si tu m'as manqué
Demande à la mer de me noyer
Si je trahissais notre amour
Demande à la terre de m'enterrer
Dans mes nuits je vois des murs de feu
Et mes jours sont un long tunnel
Au bout duquel tu m'appelles
Demande au soleil et aux étoiles
Oh ! si tu m'as manqué
Demande aux montagnes où j'ai erré
Combien de nuits combien de jours
Demande aux rivières que j'ai pleurées
Demande au soleil
Demande à la mer de me noyer
Si je trahissais notre amour
Demande à la terre de m'enterre
Demande au soleil
Demande au soleil...
Re: GAROU
Le sucre et le sel
J'ai compté toutes tes caresses
Et celles qui manquent quand tu n'es pas là
Je sais je n'ai pas de promesse
Mais ma gorge est sèche quand tu t'en vas
Je ne m'en vais pas, mon coeur te reste
Marqué à jamais, d'une place pour toi
Et tous les mots que je te laisse
Sont toujours vivants, sont toujours là
A chaque seconde, à chaque pas
Où as-tu passé ta semaine ?
Embrasse t-elle aussi bien que moi ?
Je veux déjà que tu reviennes
Dis-moi encore ce que tu dis tout bas
Je ne m'en vais pas, ton coeur commande
Le mien est si grand qu'il ne fait pas de choix
Le sucre et le sel se ressemblent
Mais j'aime les deux, pour toujours, à la fois
A chaque seconde, à chaque pas
Le sucre et le sel se mélangent
Mais il n'y aura de goût à la fin
Le sucre et le sel se dérangent
Car dans "je t'aime" il y a
"Tu m'appartiens"
Je te veux rien que pour moi
Je n' sais pas faire de choix
Mais t'aimer ça ne suffit pas
J'ai assez d'amour pour ça
Je saurai tout te donner
Je vous aime toute à jamais
Je ne sais pas te partager
Et choisir c'est renoncer
Qu'est-ce qu'elle a que je n'ai pas ?
Même quand je ferme les yeux
Qu'est-ce qu'elle a que je n'ai pas ?
C'est le sucre et le sel que je veux
J'ai compté toutes tes caresses
Et celles qui manquent quand tu n'es pas là
Je sais je n'ai pas de promesse
Mais ma gorge est sèche quand tu t'en vas
Je ne m'en vais pas, mon coeur te reste
Marqué à jamais, d'une place pour toi
Et tous les mots que je te laisse
Sont toujours vivants, sont toujours là
A chaque seconde, à chaque pas
Où as-tu passé ta semaine ?
Embrasse t-elle aussi bien que moi ?
Je veux déjà que tu reviennes
Dis-moi encore ce que tu dis tout bas
Je ne m'en vais pas, ton coeur commande
Le mien est si grand qu'il ne fait pas de choix
Le sucre et le sel se ressemblent
Mais j'aime les deux, pour toujours, à la fois
A chaque seconde, à chaque pas
Le sucre et le sel se mélangent
Mais il n'y aura de goût à la fin
Le sucre et le sel se dérangent
Car dans "je t'aime" il y a
"Tu m'appartiens"
Je te veux rien que pour moi
Je n' sais pas faire de choix
Mais t'aimer ça ne suffit pas
J'ai assez d'amour pour ça
Je saurai tout te donner
Je vous aime toute à jamais
Je ne sais pas te partager
Et choisir c'est renoncer
Qu'est-ce qu'elle a que je n'ai pas ?
Même quand je ferme les yeux
Qu'est-ce qu'elle a que je n'ai pas ?
C'est le sucre et le sel que je veux
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