PATRICIA KAAS
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Je voudrais la connaître
Je voudrais la connaître
Savoir comment elle est
Est-elle ou non bien faite
Est-elle jolie, je voudrais
Oh je voudrais la voir
Longtemps, la regarder
Connaître son histoire
Et son décor et son passé
C'est étrange peut-être
Cette curiosité
Voir enfin pour admettre
Et pour ne plus imaginer
Oh je voudrais comprendre
Même si ça me casse
Puisqu'elle a su te prendre
Puisqu'elle a pris ma place
J'sais déjà son parfum
Aussi son écriture
Ce mot doux chiffonné
Oublié dans notre voiture
J'veux voir aussi l'hôtel
Si tu y as mis le prix
Si la chambre était belle
Et si c'était un grand lit
C'est peut-être pas normal
C'est fou comme ça m'attire
Cette envie d'avoir mal
Oh jusqu'au bout, jusqu'à mourir
Oh je voudrais tout savoir
Et son âge et sa peau
Tout ce qui nous sépare
Et nous ressemble, c'est idiot
Et te surprendre avec elle
Quand t'es drôle quand t'es doux
T'écouter lui promettre
Et quand tu lui parles de nous
Je veux te voir encore
T'observer dans la glace
Et quand tu l'embrasses
Rentrer ton ventre oh matador
Je veux vos corps à corps
Tous ces gestes oubliés
Te retrouver encore
Tel que je t'avais tant aimé
Dans ce froid dans ces cendres
Je voudrais rester là
Juste voir et comprendre
Tout ce que je ne suis pas
Hmm... ce que je ne suis pas
Oh... ce que je ne suis pas
Savoir comment elle est
Est-elle ou non bien faite
Est-elle jolie, je voudrais
Oh je voudrais la voir
Longtemps, la regarder
Connaître son histoire
Et son décor et son passé
C'est étrange peut-être
Cette curiosité
Voir enfin pour admettre
Et pour ne plus imaginer
Oh je voudrais comprendre
Même si ça me casse
Puisqu'elle a su te prendre
Puisqu'elle a pris ma place
J'sais déjà son parfum
Aussi son écriture
Ce mot doux chiffonné
Oublié dans notre voiture
J'veux voir aussi l'hôtel
Si tu y as mis le prix
Si la chambre était belle
Et si c'était un grand lit
C'est peut-être pas normal
C'est fou comme ça m'attire
Cette envie d'avoir mal
Oh jusqu'au bout, jusqu'à mourir
Oh je voudrais tout savoir
Et son âge et sa peau
Tout ce qui nous sépare
Et nous ressemble, c'est idiot
Et te surprendre avec elle
Quand t'es drôle quand t'es doux
T'écouter lui promettre
Et quand tu lui parles de nous
Je veux te voir encore
T'observer dans la glace
Et quand tu l'embrasses
Rentrer ton ventre oh matador
Je veux vos corps à corps
Tous ces gestes oubliés
Te retrouver encore
Tel que je t'avais tant aimé
Dans ce froid dans ces cendres
Je voudrais rester là
Juste voir et comprendre
Tout ce que je ne suis pas
Hmm... ce que je ne suis pas
Oh... ce que je ne suis pas
Une fille de l'Est
Parce que nos cieux sont ténébreux
Et qu'ici on n'a pas la mer
On a mis le bleu dans nos yeux
C'est dans nos regards qu'on se perd
C'est peut-être à cause du soleil
Qui nous oublie longues saisons
On veut de l'or comme à Marseille
On l'a mis dans nos cheveux blonds
Je suis d'un pays d'un horizon d'une frontière
Qui sonne guerre, qui sonne éternel hiver
Et si tu veux m'apprendre
Si tu veux vraiment bien me connaître
Je suis dans chaque mot dans chacun de mes gestes
Une fille de l'Est
Ici le froid glace les corps
Mais la chaleur peut te bruler
Chez tout est intense et fort
On fait pas les choses à moitié
Et toutes ce croix, ces tranchées
Ici l'on sait le prix du sang
L'absurdité des combats quand
On est tombé des deux côtés
Je suis d'une région d'une langue d'une histoire
Qui sonne loin qui sonne batailles et mémoire
Celle qui m'a vue naître
Celle qui m'a faite ainsi que je suis faite
Une terre, un caractère celle que je reste
Je suis de ces gens dignes
Et debout dans leur silence
Où parole est parole, où promesse a un sens
Et si tu sais comprendre
Qui je suis quand j'aime ou je déteste
Je t'offrirai l'amour droit, simple et sincère
D'une fille de l'Est
Une fille de l'Est
Et qu'ici on n'a pas la mer
On a mis le bleu dans nos yeux
C'est dans nos regards qu'on se perd
C'est peut-être à cause du soleil
Qui nous oublie longues saisons
On veut de l'or comme à Marseille
On l'a mis dans nos cheveux blonds
Je suis d'un pays d'un horizon d'une frontière
Qui sonne guerre, qui sonne éternel hiver
Et si tu veux m'apprendre
Si tu veux vraiment bien me connaître
Je suis dans chaque mot dans chacun de mes gestes
Une fille de l'Est
Ici le froid glace les corps
Mais la chaleur peut te bruler
Chez tout est intense et fort
On fait pas les choses à moitié
Et toutes ce croix, ces tranchées
Ici l'on sait le prix du sang
L'absurdité des combats quand
On est tombé des deux côtés
Je suis d'une région d'une langue d'une histoire
Qui sonne loin qui sonne batailles et mémoire
Celle qui m'a vue naître
Celle qui m'a faite ainsi que je suis faite
Une terre, un caractère celle que je reste
Je suis de ces gens dignes
Et debout dans leur silence
Où parole est parole, où promesse a un sens
Et si tu sais comprendre
Qui je suis quand j'aime ou je déteste
Je t'offrirai l'amour droit, simple et sincère
D'une fille de l'Est
Une fille de l'Est
Tu pourras dire
Parce qu'il n'y aura plus de place
Même plus le temps
Quand nos vies passent et s'effacent
Qui nous attend
Parce qu'il n'y aura plus de trace
De tous ces gens
Ces regards que l'on remplace
Qu'on aimait tant
Puisqu'on se noie dans la masse
D'un monde absent
Je t'ai gardé une place
Là dans mon sang
Et tu pourras dire
C'est un nouveau monde
Il te faut grandir
D'amour à chaque seconde
Et tu pourras lire
C'est la fin d'un monde
Tu pourras l'écrire
Au delà de mon ombre
Parce qu'il n'y a plus d'espace
On perd son temps
A toujours vouloir faire face
Rien d'important
Parce qu'on se cherche une place
On est vivant
C'est un peu d'éternité qui passe
Juste un instant
Et tu pourras dire
C'est un nouveau monde
Il te faut grandir
D'amour à chaque seconde
Et tu pourras lire
C'est la fin d'un monde
Tu pourras l'écrire
Au delà de mon ombre
Et tu pourras dire
C'est un nouveau monde
Il te faut grandir
D'amour à chaque seconde
Et tu pourras dire
C'est la fin d'un monde
Et main après main
On fermera la ronde
Et tu pourras dire
Je n' suis plus seul au monde
Même plus le temps
Quand nos vies passent et s'effacent
Qui nous attend
Parce qu'il n'y aura plus de trace
De tous ces gens
Ces regards que l'on remplace
Qu'on aimait tant
Puisqu'on se noie dans la masse
D'un monde absent
Je t'ai gardé une place
Là dans mon sang
Et tu pourras dire
C'est un nouveau monde
Il te faut grandir
D'amour à chaque seconde
Et tu pourras lire
C'est la fin d'un monde
Tu pourras l'écrire
Au delà de mon ombre
Parce qu'il n'y a plus d'espace
On perd son temps
A toujours vouloir faire face
Rien d'important
Parce qu'on se cherche une place
On est vivant
C'est un peu d'éternité qui passe
Juste un instant
Et tu pourras dire
C'est un nouveau monde
Il te faut grandir
D'amour à chaque seconde
Et tu pourras lire
C'est la fin d'un monde
Tu pourras l'écrire
Au delà de mon ombre
Et tu pourras dire
C'est un nouveau monde
Il te faut grandir
D'amour à chaque seconde
Et tu pourras dire
C'est la fin d'un monde
Et main après main
On fermera la ronde
Et tu pourras dire
Je n' suis plus seul au monde
Je te dis vous
Vous viviez comme un prince, je chantais pour trois sous
Dans un bal de province et je rêvais de vous
A la fin du polar, quand vous ne mouriez pas
Comme je l'enviais la dame qui souriait dans vos bras
Je vous aurais aimé avant de vous connaître
Mais vous aurais connu avant de disparaître
Je ne suis pas peu fière, mais je tiens à en rire
Entre toi et le poster j'ai du mal à choisir
Et je te dis vous
M'avez éblouie
Moi qui n'étais rien
Vous qui aviez tout
Vous m'avez dit tu
Es belle, tout en noir
Quand vous êtes venu
M'écouter un soir
C'était au mois de mai, j'm'en souviendrai toujours
J'étais morte d'angoisse, vous sachant là dans l'ombre
Puis sont venus vos fleurs et l'espoir d'un amour
Vous le grand, moi la p'tite, soyez là si je tombe
La gloire est si fragile et bien moins que mon cœur
On dit qu'elle est le deuil éclatant du bonheur
A la fin du polar, si vous deviez mourir
J'essaierais c'est promis de garder le sourire
Et je te dis vous
M'avez éblouie
Moi qui n'étais rien
Vous qui saviez tout
Vous m'avez dit tu
Es belle, tout en noir
Quand vous êtes venu
M'écouter un soir
Et je te dis vous
M'avez éblouie
Moi qui n'étais rien
Vous qui saviez tout
Vous m'avez dit tu
Es belle, tout en noir
J'etais si émue
Sous votre regard
Quand vous êtes venu
M'écouter un soir
Dans un bal de province et je rêvais de vous
A la fin du polar, quand vous ne mouriez pas
Comme je l'enviais la dame qui souriait dans vos bras
Je vous aurais aimé avant de vous connaître
Mais vous aurais connu avant de disparaître
Je ne suis pas peu fière, mais je tiens à en rire
Entre toi et le poster j'ai du mal à choisir
Et je te dis vous
M'avez éblouie
Moi qui n'étais rien
Vous qui aviez tout
Vous m'avez dit tu
Es belle, tout en noir
Quand vous êtes venu
M'écouter un soir
C'était au mois de mai, j'm'en souviendrai toujours
J'étais morte d'angoisse, vous sachant là dans l'ombre
Puis sont venus vos fleurs et l'espoir d'un amour
Vous le grand, moi la p'tite, soyez là si je tombe
La gloire est si fragile et bien moins que mon cœur
On dit qu'elle est le deuil éclatant du bonheur
A la fin du polar, si vous deviez mourir
J'essaierais c'est promis de garder le sourire
Et je te dis vous
M'avez éblouie
Moi qui n'étais rien
Vous qui saviez tout
Vous m'avez dit tu
Es belle, tout en noir
Quand vous êtes venu
M'écouter un soir
Et je te dis vous
M'avez éblouie
Moi qui n'étais rien
Vous qui saviez tout
Vous m'avez dit tu
Es belle, tout en noir
J'etais si émue
Sous votre regard
Quand vous êtes venu
M'écouter un soir
Re: PATRICIA KAAS
Fais-moi l'amitié
C'est encore un de ces soirs
Où j'ai mon cœur d'automne
Où je viens chercher
Ton amitié d'homme
Combien de fois j'ai poussé ta porte
En sanglots
Et bu dans ton verre
L'alcool qui réconforte
Les mots faut bien qu'ils sortent
Là j'aimerais tellement
Être un mystère
Et que tu me parles
Comme à un être cher
Cher au delà
De notre entente
Que tu aies de moi
Un regard si tendre
Une envie si tendre
Je me sens si proche de tout quitter
Tellement décalée dans mon parcours
S'il te plaît fais-moi l'amitié
Ce soir de m'aimer jusqu'à l'amour
Demain peut-être
On en rira
En voyant nos têtes
Mais comprends-moi
À force de toi avec moi
Là je veux très fort
Être enfin contre toi
Tellement contre toi
C'est encore un de ces soirs
Où j'ai mon cœur d'automne
Où je viens chercher
Ton amitié d'homme
Combien de fois j'ai poussé ta porte
En sanglots
Et bu dans ton verre
L'alcool qui réconforte
Les mots faut bien qu'ils sortent
Là j'aimerais tellement
Être un mystère
Et que tu me parles
Comme à un être cher
Cher au delà
De notre entente
Que tu aies de moi
Un regard si tendre
Une envie si tendre
Je me sens si proche de tout quitter
Tellement décalée dans mon parcours
S'il te plaît fais-moi l'amitié
Ce soir de m'aimer jusqu'à l'amour
Demain peut-être
On en rira
En voyant nos têtes
Mais comprends-moi
À force de toi avec moi
Là je veux très fort
Être enfin contre toi
Tellement contre toi
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